Daphné Bürki sur "Le Tube": "Il y avait une vraie demande des téléspectateurs"

Par Le 10/10/2013 à 19:27

Dans Télévision

Mi-septembre, Daphné Bürki a dit adieu au plateau du Grand Journal qu'elle a rejoint il y a un an. L'animatrice a pris la tête d'une émission hebdomadaire média sur Canal+, dont elle tient toute seule le rôle: "Le Tube". Rapidement, ce nouveau rendez-vous des passionnés du petit écran s'est imposé. Au point de vu des audiences l'émission a marqué de bons démarrage. A l'occasion, Daphné Bürki était l'invité du BuzzMedia-Orange-LeFigaro où elle est revenue sur "Le Tube".

"Je vis globalement dans la joie, je suis d'ailleurs pour la joie dans le monde, s'amuse Dahpné Bürki. Après une super année, Michel et moi sommes partis chacun de notre côté vivre une nouvelle aventure. J'ai commencé Le Tube mi-septembre et cela se passe très bien", nous rassure-t-elle alors que plusieurs téléspectateurs pensaient que Daphné Bürki ne se sentait pas à sa place dans "Le Grand Journal". "J'ai toujours été super fan des samedis matins sur Canal + à l'époque où il y avait justement + Clair ou encore En aparté. Il y avait une vraie demande des téléspectateurs et des abonnés pour revoir une émission médias estampillée Canal +, assez chic et informative. Ce projet m'a directement branché", poursuit-elle.

"En juin, avant le lancement de l'émission, j'espérais faire 500.000 téléspectateurs, un seuil que nous avons atteint dès la deuxième émission»«Maintenant, c'est tout bénef, que du bonus!", rappelle Daphné Bürki sur son objectif d'audience qu'elle a largement battu. "Comme je suis en hebdo, je prends le contre-pied de tout ce qui se passe actuellement. Nous sommes tous hyper informés, tous connectés, nous avons au moins une application d'un site médias... Il faut donc être différent, c'est-à-dire raconter des histoires, expliquer comment cela se passe, qui sont les femmes et les hommes de l'ombre... Le point de départ, ce sont les «stories». Nous essayons de faire des investigations, avec une toute petite équipe. Nous travaillons à flux tendu", souligne-t-elle.

B.B.

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